Aymrick ;; Parce qu'il mérite plus que d'être un PNJ joué par le MJ.

Aymrick est quelqu’un de très nerveux intérieurement, mais cela ne parait aucunement lorsqu’il parle. Il sait très bien contrôler les tremblements de sa voix et de ses mains. White est un petit gaffeur, mais pas trop, il fait surtout des gaffes lorsqu’il parle. Il a une petite tendance à dire le mot de trop ou le mot qu’il ne faut pas.

Rick est quelqu’un qui va toujours être là pour rassurer les gens peu importe la situation. Rarement, il n’hausse le ton ou se met en colère. Il est d’une patience indéfinissable. Il ignore toutes sortes d’insultes et n’a pas de temps à perdre à y répondre. Au contraire, il est presque toujours de bonne humeur et sourit régulièrement. Le coach est un bon leadeur, bien sûr.

Parler de son passé le rend triste. Aym’ sait qu’il aurait eu une très bonne carrière sans cet incident. Il évite le plus possible ce sujet. Cependant, il n’en veut pas au frustré de la vie qui l’a blessé. Le jeune homme pardonne tout et n’est pas du tout rancunier.

Oh, je ne dois pas oublier, Aymrick doit être celui qui parle le plus dans la chambre. Sans être surexcité, il dit beaucoup trop de choses inutiles dans une journée. Lorsqu’il ne peut pas parler à voix haute, il se parle avec sa conscience dans sa tête. C’est sûrement là qu’il dit le plus niaiseries. Il n’arrive pas à rester longtemps, longtemps immobile.

Aymrick White est né le 22 juillet au Québec d’une mère québécoise et d’un père américain. Il est donc considéré comme un Québécois et il parle très bien autant le français que l’anglais. Très jeune et à cause de son père, il s’intéressa bien vite au hockey. White fut inscrit dans sa première équipe à l’âge de 4 ans et causa la surprise chez ses parents lorsqu’il demanda à être gardien. Le jeune homme ne voulait rien savoir d’être un attaquant, il voulait défendre les buts, sinon il ne voulait pas jouer. Son père accepta et Aymrick alla acheter son premier équipement de hockey. Le jeune garçon connut le pire début de saision possible. Pourquoi? Parce que son équipement était un équipement de gaucher et qu’il était droitier. Certes, ses parents avaient acheté l’équipement traditionnel sans le savoir.

Les années suivantes, il joua comme gardien droitier et s’avéra un excellent gardien. Aymrick était avantagé par le fait qu’il était un gardien attrapant de la droite. Dès l’âge de 10 ans, il commença à jouer dans les doubles lettres et contre des équipes meilleures. Aucun problème pour lui. Il finit ses deux saisons atome avec la meilleure moyenne d’efficacité de la ligue. Ça ne s’arrêta pas là pour le gardien qui ne cessait de s’améliorer et de faire des arrêts sur des buts assurés.

Il joua dans les équipes les plus hautes toute son enfance et fut repêché par les Remparts de Québec plutôt jeune et joua avec eux jusqu’à ce qu’il fut repêché à 19 ans par les Penguins de Pittsburgh au premier tour, malgré le fait que l’équipe avait Fleury dans leur rang. Aymrick avait toujours visé la ligue nationale, donc jamais il n’avait fait de choix de carrière, car il savait ce qu’il allait faire. Il avait ce qu’il fallait.

Il passa trois années dans les mineurs avant d’avoir sa place comme second dans la grande équipe. Aymrick connut une superbe première session et épata la galerie. Il passa la saison au complet dans la ligue nationale. Le drame mettant fin à sa carrière, arriva vers la fin de sa troisième saison.

Le gardien qui venait de voler complètement un joueur de Dallas, avait levé son casque pour boire de l’eau. Le joueur en question frustré de l’arrêt vint le pousser violemment par en arrière. Aymrick tomba lourdement et se cogna durement le front contre la barre horizontale de son but avant de se cogner la tête avec force sur la glace. White sut tout de suite qu’il avait une commotion, car il n’arrivait plus à se lever, mais jamais il se saurait douté que cela mettrait fin à ses jours de joueur de hockey.

En effet, la tête du jeune homme avait été frappé tellement fort à deux reprises qu’il fit une commotion cérébrale de niveau trois. Ce qui signifie qu’un simple coup sur la tête peut lui être fatal. White fut dans l’obligation de se retirer très jeune, car son médecin l’obligea.

Cet accident fit le tour de la ligue rapidement où le jeune homme connut une certaine popularité. Son nom est connu de tous, mais peut-être pas dans la bonne façon. « Hey! C’est Aymrick White! Le gars qui peut pu jouer avec d’une forte blessure à la tête. » C’est tout ce que les gens se rappellent de ce jeune joueur qui avait pourtant une très bonne prestance sur la glace.

White se fit très silencieux jusqu’à aujourd’hui où les canadiens vinrent le chercher comme coach. Pourquoi lui? Parce que sa réputation de leader et de joueur d’équipe n’était pas restée sous le silence. Aymrick s’entendait très bien avec ses coéquipiers de Pittsburgh qui lui avait tous donné le surnom de « tout croche », car il était un gardien droitier.

Le voilà maintenant entraîneur-chef pour l’équipe la plus critiquée de toutes.

Aymrick a peur de recevoir un coup sur la tête, car il tient à la vie. Il connaît les risques et fait très attention. Il va même pratiqué sur la glace avec un casque. Sa plus grande passion est le hockey, il connaît tout du hockey et voit les bons coups et les erreurs de tout le monde peu importe la position. Il ne se concentre pas seulement sur les gardiens. Il aime parler, bien sûr. La lecture le détend lorsqu’il est trop énervé, il aime bien écrire sur son ordinateur également.